Saviez vous, que dés 14 ans les jeunes commencent déjà une lourde consommation d'antidépresseurs et tout sorte de médicaments censé aider ces crises ...
Saviez-vous que cela ne marche pas ?
L'oubli ne fais pas oublié ce mal être, rangeur d'âmes et de chairs ...
J'en sais quelque chose, j'en ai pris ... quantité prescrite, quantité hors norme ...
Tremblement, gouffre à porté de main ...
Pourquoi, les jeunes de maintenant ont ça ... cela n'était pas comme ça dans une époque antérieur à la mienne ...
Que sera t'elle plustard ?
Incomphréension ... le seul mot qui glisse immuablement dans ma tête depuis mes premiéres crises ...
J'ai arrêté les médicaments, pures folies ... le tube est là prés, poster pour son rôle de drogue ...
Car oui, c'est une drogue, un plaisir chimique qui t'aide que à t'envoyer dans ce monde qui est le Je-m'en-fou.
Pourquoi un mal être ?
La premiére personne que j'ai rencontré, un vrais adulte rescapé de sa propre autodestruction; avait une vision du monde non noir et ni rose d'ailleurs ... mais grise, comme la mienne à présent.
Il me disait que nous ne sommes que des corps, de la chair qui va pourrir aufond d'un trou de six pieds
Etrange parole ... je l'ai perdu, vit-il toujours ?
Il n'y a pas de réelle parole pour ces adolescants en mal de vivre .. comme vous le dîtes si bien.
Leur silence est étoufant pour vous, suffoquant ... une air empoisonné qu'il faut absolument échappé .. une prison incassable.
Pourtant, les mots ... oh que ces mots sont magnifique quand on les lis, quand on les écoute.
Des gens comme ça, il y en a peu ... il vaut mieux d'un côté ...
Non ne confendez, avec ces pathétiques qui ne veulent que leur morts ... un mal être eux oui.
C'est bête, même si vous n'y croyez pas mais; cela ne disparaît pas cela reste en nous.
Si par malheur, on ose l'oublier, le renier, on n'est pas soit mais un mort vivant vaquant à des choses sans interêt.
On aime tout à chaque instant, le lendemain est comme la premiére fois ... aucun blasé, aucun réel pli.
Voilà ...