Le partisan Full membre
Nombre de messages : 423 Localisation : planète Terre, juste à côté de la lune Date d'inscription : 27/11/2004
| Sujet: GIP II, le retour Jeu 31 Mar à 21:00 | |
| Ia Orana Taurearea ma,
c'est reparti pour un tour, les GIP ont encore bloqué le pont de Motu uta, hier soir à 20 h 00, c'était le rush au pompe à essence depuis hier soir jusqu'à ce matin, nous devrions comme la semaine dernière tomber en rupture de Gazoil, sans plomb et gaz dans la journée
Le motif invoqué est le suivant concernant la nomination de Marcel AHINI en tant que chef de service par interim des GIP par le conseil des ministres en date du 30/03/04. Cette nomination ne respectant pas le protocole qui stipulait que celui ci aurait du être nommé administrateur. Problème de terminologie
Bref une raison de plus pour Rere PUPUTAUKI de reprendre son baton de pélerin et de prendre otage la population...
Voici l'article de Tahiti Presse du 30/03/2005 Des agents du GIP mécontents bloquent à nouveau le pont de Motu-Uta "Nouvel épisode dans la crise du GIP (Groupement d'Intervention de la Polynésie): des agents proches de l'ancien chef de service, Léonard Puputauki, bloquent de nouveau l'accès à la zone portuaire de Papeete depuis mercredi 20 heures.
Des engins lourds et plusieurs agents du GIP sont sur place et empêchent le passage de véhicules, a constaté Tahitipresse. La raison de ce nouveau mouvement d'humeur, moins d'une semaine après qu'une première situation de blocage ait pu être résolue rapidement et dans la négociation, serait, selon des membres du GIP proches de Léonard Puputauki, "le non-respect du protocole d'accord" signé dimanche dernier. Le premier blocage du pont de Motu-Uta par des membres du GIP qui s'opposaient à la nomination par le gouvernement Temaru de Robert Maker à la tête du service avait duré trois jours. Tout comme le premier mouvement, ce nouveau blocage a entraîné une ruée des automobilistes dans les stations-services pour s'approvisionner en carburant, la zone portuaire de Papeete comprenant notamment le dépôt d'hydrocarbures de Tahiti. TM"
Voici l'article de Tahiti presse du 31/03/2005 Le gouvernement condamne le nouveau blocage du port par des agents du GIP Dans un communiqué, le gouvernement a condamné le nouveau blocage du pont de Motu Uta par des agents proches du GIP proches de l'ancien chef de service, Léonard Puputauki, et affirmé que la nomination de Marcel Ahini à la tête du service correspond bien à l'esprit du protocole d'accord signé dimanche dernier.
"Rere Puputauki a de nouveau organisé le blocage du port et bafoué le protocole qu'il a signé avec le gouvernement et les représentants du monde syndical. Il n'a pas tenu son engagement de se retirer du GIP où il continue de se comporter en chef de service", indique la Présidence dans un communiqué. Le litige semble porter sur le fait que les termes employés dans le communiqué du Conseil des ministres, mercredi, évoquent la nomination de Marcel Ahini en tant que "chef de service par intérim" et non pas comme "administrateur provisoire". Sur ce point, le gouvernement explique: "en droit privé, l'administrateur provisoire se substitue au dirigeant habituel de l'entreprise. Ceci n'est pas possible dans le cadre d'un établissement public. C'est pourquoi le Conseil des ministres a désigné Marcel Ahini chef de service par intérim, ce qui correspond à l'esprit du protocole" (ndlr, celui signé dimanche dernier). Le communiqué de la Présidence ajoute: "en réalité le chef démissionnaire du GIP engage une épreuve de force contre le gouvernement légitimement élu". TM
Preuve que les GIP est une institution instable, doit on parler de milice ??? Refus de l'autorité, bref des refractaires.
A ce sujet samedi dernier, les GIP ont pris d'assaut sur le quai de Moorea un bateau administratif Tahiti Nui IV , voici l'article de Tahiti Presse du 28/03/2005
Blocage de la zone portuaire par le GIP: incident à l'arrivée d'un navire
(Débuté jeudi matin, le blocage de la zone portuaire de Papeete par des agents du GIP (Groupement d'intervention de la Polynésie) qui refusent la mise à l'écart de leur ancien chef, Léonard Puputauki, se poursuit. Quelques "échauffourées" se seraient produits, samedi matin, à l'arrivée dans le port du "Tahiti Nui VI", l'un des navires du GIP.
Le navire qui revenait de Maupiti (îles Sous-le-Vent) s'est dirigé vers le quai des ferries de Papeete, une zone qui reste encore libre d'accès. Selon plusieurs témoignages, des agents du GIP, fidèles à Léonard Puputauki, auraient alors pris contrôle du navire et l'auraient amené à la base du GIP, à Motu Uta. Au passage, quelques "échauffourées" auraient eu lieu, indique-t-on, de source gouvernementale. Au-delà de cet incident, la situation reste bloquée, sur le terrain, les agents proches de Léonard Puputauki continuant à filtrer l'accès au pont de Motu Uta qui mène à la plus grande partie de la zone portuaire de Papeete et au dépôt d'hydrocarbures de Tahiti.
Gardiennage du service de l'informatique En attendant que la situation évolue, les goélettes qui assurent la desserte maritime des îles embarquent et déchargent leurs marchandises au quai d'honneur, situé au cœur de Papeete, à quelques centaines de mètres du barrage du pont de Motu Uta. Par ailleurs, le "Tahiti Nui III", un autre navire du GIP, a bel et bien pris la direction des Marquises afin d'assurer le transport de l'embarcation de la rameuse Maud Fontenoy de cet archipel à Papeete. Craignant une extension du conflit à d'autres points sensibles de la vie économique polynésienne, d'autres agents du GIP, reconnaissant l'autorité de Robert Maker, lequel a été nommé à la tête de cet organisme par le président de la Polynésie, Oscar Temaru, assurent un gardiennage de l'entrée du service informatique du Territoire, vital pour le fonctionnement de l'administration et le dédouanement des marchandises, depuis vendredi matin. Dans un communiqué, jeudi soir, le haut-commissariat, dont l'intervention avait été demandée quelques heures auparavant par la Présidence de la Polynésie afin de rétablir la liberté de circuler sur la voie publique, a fait savoir qu'il estimait que cette situation était un "conflit du travail interne à un service de la Polynésie" et qu'il appartenait "d'abord aux responsables des services de la Polynésie française de régler ce problème". TM
Apparemment, ce matin il y aurait du grabuge entre les travailleurs des sociétés SAT NUI / COWAN et les GIP, à vérifier.
Bref, notre haut commissaire garant de l'état de droit et des libertés, ne fait rien, les GIP font ce qu'ils veulent, prenant une fois de plus la population en otage.
@ + | |
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cosy Extra membre
Nombre de messages : 867 Localisation : tahiti Date d'inscription : 26/11/2004
| Sujet: Re: GIP II, le retour Jeu 31 Mar à 21:06 | |
| Flosse revient et comme par hasard: GIP II....
Vous avez lu la remarque de Fritch sur le GIP à l'arrivée de Flosse ?...et toutes les entrevues de Flosse avec Chirac, Girardin et Sarkosy?....hum... | |
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Nat's Extra membre
Nombre de messages : 761 Localisation : Pluton ^^ Date d'inscription : 11/12/2004
| Sujet: Re: GIP II, le retour Sam 2 Avr à 4:55 | |
| Ils sont fatiguants ces GIP Ils veulent vraiement que ce soit la population qui sort et leur dise de partir (avec maniére forte bien sûre) ? En plus, le Haut Commissaire il ne fait rien .... enfin on s'en saurait doutté ! Mais bon, Oscar aussi !! stp, fait quelque chose de concret pour une fois !! | |
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| Sujet: Re: GIP II, le retour | |
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